Archives par mois :novembre2022

hi archyive

C’est celle du milliard de jeunes dans le monde menacés à terme de surdité.

Merci aux casques, écouteurs, discothèques, salles de concert… sans excuser la responsabilité individuelle quant à  « la pratique d’écoute dangereuse ».

C’est aussi celle de celui qui n’écoute pas Dieu.

Celui qui a planté l’oreille (Paume 94/9) nous demande de « prêter l’oreille » (Esaïe 1/2).

Pourquoi faire la sourde oreille ?
… au grand livre ouvert de la création, qui en dit des choses !
… à l’avertisseur interne qu’est notre conscience…
… bien plus : à la Parole de Dieu, la Bible, le Livre de Dieu qui vaut mieux que les livres sur Dieu.
… à Celui que la Bible révèle : Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur et Seigneur, parole éternelle (Jean 1/1-2). En s’incarnant, il dit qui est le Dieu invisible et nous communique Ses pensées et sa volonté. Il est d’abord en Lui-même le message de Dieu pour nous.

L’oreille sourde fut quelquefois guérie par Jésus, c’est dire l’importance qu’il donne à la capacité d’entendre et d’écouter.

Mais la sourde oreille ?

« …ils n’ont pas prêté l’oreille ; ils ont suivi les conseils, les penchants de leur mauvais cœur, ils ont été en arrière et non en avant. »

(Jérémie 9/24)

« Parle-moi toi Seigneur… »

Et enfin : « En avant ! »

Pascal Collet

Le mois dernier, 120 ruches d’une exploitation de Seine et Marne, ont été attaquées par des frelons asiatiques et détruites.
Les exploitants estiment que 3 millions d’abeilles sont mortes.
Au-delà de la perte financière, quel abattement !

L’investissement affectif, le temps, le courage, l’espoir… tout cela réduit à néant… par des insectes !

C’est donc toujours vrai : sur la terre, la teigne et la rouille détruisent.

La teigne, ou selon d’autres traductions, les mites, les vers…

C’est très déplaisant : tout ce qui est de cette terre est destiné à périr. La chose est maintes fois prouvée aujourd’hui encore, et « la teigne » et «  la rouille » peuvent prendre de nombreux visages et recouvrer bien des circonstances.

L’homme aura beau prendre des précautions et assurer ses biens, il n’a pas le pouvoir là-dessus.

Et le cœur de celui qui amasse ici-bas, qui veut faire fructifier, y met sa passion ! Un jour viendra où l’excitation du gain, de la possession, de la plus value cessera.

« Veux-tu poursuivre du regard ce qui va disparaître ? » écrit Salomon (Prov 23/5)

Cet homme ne peut que constater que ce à quoi son cœur s’était attaché s’en va… n’est plus.

Quel déchirement !

C’est Jésus qui a parlé de la teigne et de la rouille et des voleurs aussi (Matthieu 6/19-20) pour inviter chacun à réorienter son cœur, sa volonté, ses affections : il existe des biens meilleurs, et qui durent toujours.

Recherchons-les !

Pascal Collet

La mort de Jésus a accompli 29 prophéties !

Parmi elles :

  • Esaïe 53/5
  • Psaume 22/16
  • Psaume 22/18
  • Amos 8/9

Cette mort n’est donc pas une mort banale.

Elle peut reprendre à son compte le constat justement écrit par Matthieu : « Tout cela est arrivé afin que les écrits des prophètes soient accomplis. » (26/56)

Chaque évènement conduisant à cette mort fut donc prévu, ce qui n’enlève rien à la responsabilité des coupables : la trahison de Judas, le reniement de Pierre, l’attitude inique du sanhédrin, l’opportunisme de Pilate, le supplice de la croix…

Jésus n’a pas été victime des circonstances : il s’est positionné dans le dessein de Dieu son Père en notre faveur, jusqu’à la mort, même celle de la croix.

Les écrits des prophètes, une fois de plus, ont donc été accomplis. C’est une constante divine : la Parole de Dieu s’est accomplie, s’accomplit et s’accomplira.

« C’est un parole certaine et entièrement digne d’être reçue.. »

Pascal Collet

Ainsi appelle-t-on cette mini cigarette jetable au goût fruité.

« Quand tu la fumes, t’as l’impression de manger un bonbon » dit une jeune adepte.

Quelle saveur préférez-vous : fraise, mango-raisin… ?

Quelques collégiens, déjà accros disent : « C’est logique, on est la cible ».

Ce constat est juste : effectivement, cette affaire commerciale suppose une stratégie et donc une cible.

Mais il est consternant que les humains acceptent si facilement de se laisser « accrocher », comme si au fond, la chose était normale.

« Chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui » écrit l’apôtre Pierre (Pi 2/19).

La « puff » n’est qu’une infime part de ce qui peut triompher de l’être humain, la dernière mode avant celles à venir.

Mais pourquoi donc devrions nous accepter cela, même avec un goût fruité ?

« L’homme naît libre et partout il est dans les fers «  écrivait Rousseau.

En Jésus Christ, celui qui affranchit, nous pouvons devenir libres de tout esclavage et le demeurer, y compris de tous les conditionnements et modes éphémères.

Là est la vraie vie !

Pascal Collet