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hi archyive

Lors d’un match au tournoi de tennis d’Indian Wells, des milliers d’abeilles ont fait leur apparition sur le court, voltigeant puis se fixant sur une des caméras, et amenant l’interruption du match.

Les deux joueurs ont eu beau donner (dans l’air) quelques coups de raquettes… rien n’y fit.

L’homme revêtu de l’autorité de ce moment, l’arbitre comme le superviseur n’y pouvait rien…

Pas plus que le kiné ou le médecin toujours présents…

Les commentateurs, pas davantage.

Il fallait un apiculteur, et il s’appelait Lance Davis.

Il lui a suffi de quelques instants pour régler le problème… et le match reprit !

Comme quoi, avoir la bonne personne pour le problème posé est indispensable.

Les mots de l’ange, envoyé par Dieu sont choisis : il vous est né un Sauveur dit-il (Luc 2/11) en annonçant la venue de Jésus.

Un Sauveur : pas un philosophe, pas un influenceur, pas un magicien… un Sauveur !

… celui qu’il faut pour… sauver !

Le Dieu-homme de la situation !

La perdition, l’éloignement, les ténèbres, le péché et ses ravages, le désespoir, la tromperie…

Il connait : Il viendra, Il vient quand on l’invoque.

Il m’a sauvé (Ps 116/6)

Il me sauve (1 Pi 3/21)

Il me sauvera (Tim 4/18)

Pascal Collet

Ou : Rien à faire ! Peu importe !

         Peine perdue ! Inutile d’insister !
         C’est inutile !

…selon la traduction du texte de Jérémie 18/12.

Littéralement : désespéré !

Le désespoir est donc un mauvais conseiller.

Bien que le mal du peuple soit grave, il lui était encore possible de revenir de ses mauvaises voies et d’échapper au jugement (v8).

Tout n’est donc pas perdu ; La fin n’est pas encore dite.

A cette opportunité divine, seul le désespoir répond, et scelle l’avenir, hélas.

Sommes-nous condamnés à osciller entre les espérances humaines et la désespérance ?

Les espérances humaines sont la plupart du temps déçues : « Nous espérions la paix et il n’arrive rien d’heureux ; un temps de guérison et voici la terreur. » (Jérémie 8/15)

La désespérance elle, enracine dans la défaite, la bassesse, la misère.

Mais l’espérance divine, c’est-à-dire venant de la Parole de Dieu n’est-telle pas présentée comme un refuge et une ancre ? (Héb 6/18-19)

L’ancre, c’est ce qui assure la stabilité malgré les éléments déchainés et les temps difficiles.

Celle des disciples, sûre et solide prend sa source dans l’œuvre de Jésus, maintenant glorifié après avoir tout accompli sur la terre.

Que notre foi et notre espérance reposent donc sur Dieu (1 Pi 1/21).

Pascal Collet

La connaissez-vous ?

C’est une base militaire américaine dans le Névada dans laquelle il est impossible d’entrer.

Hors limite de façon permanente à tout trafic aérien, entourée de grillages et barbelés, équipée de détecteurs de mouvement, surveillée H 24 par des patrouilles de gardes armés et des hélicoptères, cette zone est donc inaccessible.

…comme la demeure de Dieu l’est pour l’être humain !

Ce « lieu très saint » du temple n’était-il pas redoutable ? et mystérieux ?

Cette montagne du Sinaï au sommet de laquelle Dieu se tint avec Moïse ne devint-elle pas de ce fait un lieu dangereux et littéralement terrifiant ?

La demeure du Dieu saint et majestueux est forcément trop pure pour laisser place aux « visiteurs » et aux curieux, et à tous les autres…

Mais voilà, en évoquant la maison de Dieu l’auteur de l’épître aux Hébreux va nous rappeler 3 choses :

  • Jésus, par son sacrifice est le grand prêtre de cette maison pour ceux qui le veulent.
  • Un accès est maintenant possible à l’inaccessible : il est appelé « la route nouvelle et vivante » ; Jésus l’a inaugurée.
  • L’humain repentant et plaçant sa foi en Jésus, y a sa place : « libre entrée » succède pour lui à « inaccessible » (Héb 10/19-21)

« Approchons-nous donc… »

Pascal Collet

Une cinquantaine d’année après l’alunissage de Neil Armstrong et Buzz Aldrin, l’homme va de nouveau fouler la lune, qu’il soit américain, européen ou chinois…

On apprend qu’à moyen terme, la prouesse sera réalisée d’installer en orbite lunaire une petite station spatiale, sorte d’aéroport spatial pour lancer des atterrisseurs habités et construire des bases sur cette planète.

Quels exploits !

Le génie humain est à l’œuvre !

Sans le nier, que dire cependant du fait suivant : Dieu a marché sur la terre ?

Oui, le Dieu de l’univers, le Créateur qui soutient toutes choses par Sa parole puissante, le Dieu inaccessible par Sa grandeur et Sa sainteté, le Dieu du « troisième ciel » (2 Cor 12/2) a voulu, via l’incarnation du Fils, venir sur la terre, fouler le sol, aller de lieu en lieu (Act 10/38), pour s’y révéler comme le Dieu sauveur.

Qui peut mesurer ce que représente ce fait pour Lui et pour nous ?

« Le Fils de Dieu vint sur la terre mourir pour moi car Il m’aimait ; est-il de plus profond mystère, d’amour plus grand et plus parfait ? »

« Un petit pas pour l’homme, mais un bond de géant pour l’humanité » dit l’astronaute Neil Armstrong le 21 juillet 1969 en foulant le sol lunaire.

Depuis, l’iniquité s’est accrue, autant que la science, le péché a continué d’obscurcir la terre, l’injustice, les guerres et les drames ont ponctué la vie de la planète…

…mais des âmes, par milliers, ont découvert la puissance du salut du Dieu fait homme venu ici-bas.

Et pour eux, quel bond de géant !

Pascal Collet