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hi archyive

Cette expression latine était utilisée par Martin Luther.

Elle signifie : en dehors de nous. Elle faisait écho à la révélation biblique du salut de l’être humain.

  • Le dessein de salut : extra nos Ep 1/9
  • L’agneau pour l’expiation : extra nos 1 Pi 1/20
  • L’enfant Jésus, futur Sauveur : extra nos Mat 1/20
  • La transaction de la croix : extra nos 2 Cor 5/1
  • La résurrection : extra nos Act 2/24
  • L’ascension de Jésus : extra nos Phil 2/9

Notre salut n’existe pas parce qu’au départ quelque chose se serait trouvé en nous.

Au contraire, tout ce qui était nécessaire est venu de l’extérieur : Dieu a pourvu au pardon, à la justice, à la sainteté en Jésus Christ.

Ceci est un fait immuable, invariable, efficace, glorieux.

« Et tout cela vient de Dieu… »

(2 Cor 5/18)

« Et cela ne vient pas de vous… »

(Ep 2/8)

Notre égo en souffrirait-il ?

C’est la part qui lui revient afin de l’écarter pour que notre confiance ne repose que sur Christ.

« En dehors de nous » pour que ces richesses deviennent « en nous » !

Pascal Collet

« Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes. »

Romains 5v19

Les conséquences de l’obéissance de Jésus jusqu’à la mort de la croix sont inestimables pour le pécheur repentant.

Je vous partage ce poème qui en dresse quelques-unes. Jésus a tout accompli pour faire de vous et moi ce juste !

Le Juste

Mort au péché, ressuscité avec Christ,
L’œuvre du juste est pour la vie.
Renonçant à sa chair et ses désirs,
Il marche selon le Saint-Esprit.

Il exhale le beau nom de Jésus,
Témoin fidèle d’un si grand salut.
Sa vie, son corps et ses biens,
Il a tout livré sur l’autel divin.

Le monde est bouleversé, le juste ne chancellera jamais,
Ses pas s’affermissant dans la vérité
Il suit avec assurance le droit sentier
Que Jésus lui-même a tracé.

Ecoutez ses silences, ses paroles rares ;
Regardez sa vie et voyez !
Un seul nom vous retiendrez :
Le nom de Jésus que son âme adore.

Doux et humble, il prend soin des siens,
Désirant en tout temps le bien.
Ses sages conseils sont pour eux
Un argent de choix précieux.

Comme père, il est une grâce de Dieu,
La noblesse de son cœur un héritage précieux.
Le craignant Dieu possède un ferme appui
Et ses enfants ont un refuge auprès de lui.

                                            Auteur anonyme

Etienne Cornuel

Le vagabond ne sait où il va.
Il n’a rien préparé pour son voyage.
Il n’emprunte que des chemins qui lui semblent agréables.

Le voyageur, pour sa part, a choisi sa destination.
Il a préparé ses bagages en conséquence.
Il emprunte la route la plus sûre lui assurant d’arriver à bon port.

Dans le grand voyage de l’existence, êtes-vous vagabond ou voyageur ?
Savez-vous où vous allez ?
Vous êtes vous préparés à la rencontre de votre Dieu ?

Jésus a donné sa vie sur la croix pour que nous ne soyons plus errants.

« Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. »

Esaïe 53v6

Il est grand temps de choisir la meilleure destination et le chemin le plus sûr pour votre vie.

« Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. »

Jean 14v6

« Être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur »

Philippiens 1v23

Quelle joie de marcher avec Jésus
Quelle joie de marcher avec Lui.
Dans mon voyage ici-bas
Il conduira tous mes pas.
Quelle joie de marcher avec Lui !

Etienne Cornuel

C’est l’explication donnée par des personnes qui resquillent aux caisses automatiques des supermarchés.

Avec une variante bien connue : « Tout le monde le fait ! »

Voilà donc dans quel sens les êtres humains vont : celui qui fait mal ou pire, devient une raison pour qu’on fasse comme lui.

Et au bout du compte, à la fin, c’est dans un abaissement moral que tous vivront, « l’avant-garde » décidée à tout, et « l’arrière garde » qui n’avait pas ce courage, mais que les exemples ont décidé.

Mais alors que dire d’un Noé, « juste et intègre » en son temps, temps de corruption généralisée (Gen 6/9) ?

Que dire d’un Josué, peu soucieux de prétexter le cœur partagé de sa génération : « Moi et ma maison… » (Josué 24/15) ?

Que dire d’un Samuel, seul dans un temps de déclin ?

Que dire de Daniel et de ses compagnons si minoritaires parmi les jeunes hébreux déportés, mais ne cherchant pas de prétexte chez leurs compatriotes pour se compromettre eux aussi ?

Et suprêmement, que dire de Jésus, saint par choix et conviction au milieu des pharisiens, hérodiens, sadducéens…et autres pécheurs ?

Si nous voulons prospérer, à qui faut-il regarder ?

« Seigneur, attire mon cœur à Toi… »

« Bien-aimé, n’imite pas le mal (même si tout le monde le fait) mais le bien. Celui qui pratique le bien est de Dieu ; celui qui fait le mal n’a pas vu Dieu ».

(3 Jean 11)

…aux caisses automatiques, devant les déclarations aux impôts et partout ailleurs….

Pascal Collet