Archives par mois :octobre2021

hi archyive

Un artiste relatait, en rapport avec le drame de l’isolement des personnes âgées pendant le confinement, la scène qu’il avait lui-même vécue avec son papa qui était en maison de retraite avec un début d’Alzheimer.

Au début du confinement, son père le reconnaissant à son approche ouvrait les bras en disant:  » viens m’embrasser »!

et le fils devait lui répondre:  » on ne peut pas »!

Une barrière de plexiglas empêchait le dernier rapprochement.

Des observateurs ont employé à ce propos le terme de « mort sociale ».

« Viens m’embrasser »!

N’est ce pas là aussi ce qui pourrait être le soupir de Dieu? Cette relation aimante avec l’être humain, ne la désire-t-il pas?

La bible nous dit que Jésus est venu pour nous permettre d’aller à Dieu (Jean 14/6).

Elle dit aussi qu’il a souffert pour nous amener à Dieu (1 Pierre 3/18).

Alors, n’entendez-vous pas ce : « Viens m’embrasser »?

La barrière bien réelle du péché, obstacle humainement incontournable pour atteindre Dieu n’a-t-elle pas reçue sa réponse divine, dans l’offrande pour nos péchés de Jésus sur la croix?

Comme le père de la parabole (Luc 15/20) qui court se jeter au cou du fils qui revient à lui dans la conscience de son indignité pour l’embrasser, Dieu attend ce moment pour chacun de nous.

« Viens m’embrasser« !

Pascal Collet

…et des moins jeunes aussi!

« Nos parents prenaient l’apéritif, nous on roule un joint! » explique un jeune consommateur de cannabis. Et il dit ainsi comment des substances toxiques sont devenues de consommation courante.

« ça m’apaise… ». C’est donc là la raison du « pastis des jeunes ».

malgré les drames qu’il cause ( accidents de la route…), la dépendance qu’il occasionne, et les conséquences néfastes, il représente l’espoir d’un court moment d’apaisement pour des vies tumultueuses et angoissées…

Où donc chercher et trouver la paix? Une paix véritable, sans artifice, sans « substance », sans danger pour soi et pour autrui.

Des siècles avant sa venue, Esaïe annonce la naissance de Jésus, le don du « Fils » (Esaïe 9/5).

L’un des noms/titres nous interpelle: il est présenté comme le Prince de la paix.

Histoire de prince et de princesse pour les petits enfants? Non. Il est question ici de celui qui détient l’autorité.

Jésus a l’autorité pour donner la paix.

Et cette paix, divine, est assurée par le triomphe de Jésus sur ses/nos ennemis: le diable, le péché, la mort même.

La paix dans le cœur par Jésus…

La paix profonde en lui.

Laissez tomber le pastis des jeunes; goutez son salut et sa délivrance; découvrez sa paix!

Pascal Collet

Pendant environ 6 heures le lundi 4 octobre, son site a été inutilisable, ainsi que ses services annexes: Instagram et WhatsApp.
Cette plate-forme à 86 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2020 n’est donc pas infaillible.
Miser sur elle comme le font certains humains et certaines professions c’est, on le sait maintenant, prendre un risque.
La puissance n’annule pas la faillibilité!

Du reste, tout ce qui est humain est faillible : la chose devrait être plus présente à notre esprit.

Tout autre est le Dieu que la Bible révèle :

  • Invariablement fidèle à sa nature,
  • Constant dans sa plénitude,
  • Qu’on peut trouver n’importe où, n’importe quand,
  • Sans erreur et sans zone d’ombre,
  • Menant à leur terme ses desseins,
  • Et plus particulièrement son dessein de salut en Jésus son Fils.

Sur qui allons-nous miser? Sur qui pouvons-nous compter?

Étant entendu que la confiance dont il est question n’est pas seulement de lui apporter nos problèmes, mais avant tout de lui apporter notre vie!

« Il est le rocher; ses œuvres sont parfaites, car toutes ses voies sont justes; c’est un Dieu fidèle et sans iniquité, il est juste et droit. »

(Deutéronome 32/4)

Pascal Collet

Ici, on bénit les cartables car c’est la rentrée ( une pratique en développement), là, des chiens, des outils; ailleurs, des motos, des bateaux, et encore ailleurs,  » on bénit tout » selon l’expression d’un ecclésiastique

« ça peut me porter chance… »
« Tout est bon à prendre… » pensent et disent ceux qui se livrent à ces pratiques.

Ainsi vont trop de nos contemporains, sans connaissance, sans ancrage, sans certitude, s’accrochant à ce qui se présente à eux, venant de la tradition religieuse, de la superstition ou de toute opportunité.

Que Dieu nous fasse du bien!

C’est donc un soupir de beaucoup.

Mais comment?

L’évangile prêché par les apôtres pose un fondement sûr: Pierre annonce que Dieu a suscité son serviteur Jésus et l’a envoyé pour nous bénir, en détournant chacun de nous de ses iniquités (Actes 3/26).

Là, nous sommes sur le solide terrain de la révélation: la bénédiction de Dieu est accomplie en Jésus, et elle consiste avant tout à être détourné de nos iniquités.

Donc :

  • Quand j’accepte ce message, je « deviens béni ».
  • Quand je reconnais mes iniquités dans la repentance, je « deviens béni ».
  • Quand je fais confiance au Christ et notamment à son œuvre à la croix, je « deviens béni ».

Et si je suis ainsi béni, plus besoin de présenter mon cartable, mes outils, ma voiture ou quoi que ce soit: en Christ, je suis béni!