Archives par mois :janvier2022

hi archyive

Un photographe suisse, René Robert, âgé de 85 ans est mort le 20 janvier dernier dans la nuit, sur un trottoir très passant situé entre la place de la République et les Halles à Paris.

Après une chute, « simplement », personne ne l’a relevé.

Quant à l’existence, considérée du point de vue divin, il faudrait d’abord « éviter la chute »!
Quel témoignage saisissant que le suivant:

« Oui, tu as délivré mon âme de la mort, mes yeux des larmes, mes pieds de la chute »

Psaume116/8

Cet homme est conscient que Dieu l’a délivré, triplement qui plus est!

Sans Lui, la chute était certaine… mais Il est intervenu.

Jésus, le Dieu des délivrances est-il en notre vie ?
La question est centrale aussi en rapport avec le fait de chuter. L’Écriture dit:

« Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraitre devant sa gloire irréprochable et dans l’allégresse… »

Jude 24

Il le peut ! Il peut le faire !

Rien de magique, bien sur, mais les moyens variés de sa grâce en nous : son salut d’abord, ce grand relèvement initial ; ce cœur nouveau recréé par la vérité pour la sainteté, son esprit qu’Il envoie en ses disciples, son enseignement avec ses alertes, ses commandements, ses promesses…

…de telle sorte que, dans notre faiblesse inhérente, Il nous donne pourtant ce dont nous avons besoin.

Les occasions de chute existent : elles n’ont plus rien de contraignant pour le disciple de Jésus ; il ne leur doit plus rien. Une action loyale et pertinente du cœur instruit par la Parole de Dieu peut y remédier: Matthieu 5/29-30

« Il a affermi mes pas. »

Psaume 40/9

« Mes pas sont fermes dans tes sentiers, mes pieds ne chancellent pas. »

Psaume 17/5

La suite lundi prochain…

Pascal Collet

Jusqu’à peu, ce nom n’évoquait rien pour moi; cette personne m’était totalement inconnue.

C’était une chanteuse tchèque morte le 16 janvier dernier à 57 ans alors qu’elle avait décidé de se contaminer volontairement au Covid pour pouvoir obtenir son pass sanitaire! Nous avons bien lu: elle a voulu être contaminée, a réussi à l’être mais elle en est morte.

Se contaminer volontairement devient une pratique répandue, parmi les adultes et les enfants. Pour ces derniers, l’objectif est de rater une semaine de cours, ou de gagner 2 mois de tranquillité, sans test à passer. Pour d’autres, il s’agit d’éviter le vaccin, ou d’être malade  » au bon moment » par exemple pour éviter d’avoir à annuler des vacances!

Alors, c’est un jeu, ou c’est un péril?

Avez-vous connu cette « vieille histoire » de l’arbre de la connaissance du bien et du mal? Et de son fruit défendu?

Certains en sourient, mais que s’est-il passé? L’être humain a pris à Dieu la capacité à définir et déclarer ce qui est bien, ou mal.

Redoutable responsabilité!

L’erreur fût manifeste très tôt: à l’élévation promise par le diable succéda l’abaissement, la chute; à la libération du « carcan » divin , l’esclavage de soi-même, de ses convoitises.

Le bien et le mal sont définis par chacun , non plus en fonction de la sagesse de Dieu, mais en fonction des sentiments humains: ce que je ressens bien est bien, ce que je ressens mal est mal. C’est grosso modo l’approche contemporaine.

Que de naufrages! Laisser le gouvernail de notre existence à nos sensations est peut-être sympathique, mais n’offre aucune sécurité.

Pourquoi ne pas en revenir à la définition que Dieu peut donner, et aux solutions qu’il donne avec!

Savoir ce qui est bien, ou mal, de façon certaine, et recevoir par Jésus la grâce d’éloigner le mal et de pratiquer le bien.

Savoir ce qui est jeu, ou danger!

« Tes oreilles entendront derrière toi la voix qui dira : Voici le chemin, marchez-y ! Car vous iriez à droite, ou vous iriez à gauche. »

EsaÏe 30/21

Pascal Collet

David Bennett souffrant d’une arythmie sévère a été opéré et greffé du cœur. Mais le plus étonnant est que le cœur qui lui a été greffé est un cœur…de porc, génétiquement modifié. C’est ce qu’on appelle une xénogreffe (provenant d’une autre espèce).

« C’était soit cette greffe, soit la mort. Je veux vivre« , témoignait D. Bennett pour justifier cette greffe peu commune.

Vivra-t-il longtemps avec ce cœur transplanté?

Nul ne le sait, nul ne peut le dire…

La Bible aussi présente une greffe inattendue, dans le domaine végétal: les non-juifs, représentés par l’olivier sauvage ont été greffés sur l’olivier franc afin d’avoir part eux aussi à la bénédiction et à la vie de Dieu (Romains 11/17-25).

Le don gratuit de Dieu, qui est la vie éternelle est donc pour tous: juifs et non-juifs en Jésus-Christ.

Et puis, dans le même livre, il est aussi question de « greffe » individuelle: « …si nous sommes devenus une même plante avec Jésus… » ( 6/5).

Quelle opération contre nature!

Lui, saint, juste, sans péché, parfait, divin…

…et l’être humain son exact opposé en tout!

C’est pourtant bien la réalité de l’évangile, rendue de façon imagée.

Comment cela est-il possible?

Par la repentance qui nous détourne de nos voies mauvaises, et la foi, le genre de confiance qui s’abandonne totalement à un autre, en l’occurrence: le Christ et son œuvre parfaite ici-bas.

Voilà la foi chrétienne:

« Je suis le cep dit Jésus, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi, vous ne pouvez rien faire. »

(Jean 15/5)

« C’était soit cette greffe, soit la mort. Je veux vivre. »

Moi aussi, et pas seulement de la vie du corps, mais de la vie de Dieu.

Et vous?

Pascal Collet

Il faudrait donc dans cette période épidémique et concernant le retour de certains enfants en classe, une déclaration sur l’honneur des parents.

Et j’ai bien entendu plusieurs fois et de plusieurs personnes que cette demande était ridicule et qu’il n’y avait aucune illusion à se faire là-dessus: pour peu que ce retour en classe arrange les parents, ils attesteront n’importe quoi, même sur l’honneur…

Pauvres de nous quand le « oui » n’est plus un « oui », et le « non » n’est plus un « non »!

Il n’en n’est pas ainsi de Jésus, se présentant comme « l’Amen« , ouf! (Apo 2/14)

Ce mot, nous le connaissons: il signifie « ainsi soit-il« , donc qu’il en soit comme il a été demandé ou promis.

Jésus commence beaucoup de ses affirmations par ce mot, souvent redoublé, et traduit par: « en vérité, en vérité…« 

Jésus souligne ainsi la véracité de ses paroles et leur attribue la plus grande autorité.

En 2 Corinthiens 1/18-20, Paul rappelle que Jésus, ayant tout accompli parfaitement, y compris sa mort sur la croix, est le « oui » dont nous avons besoin pour ce qui concerne les promesses de Dieu. Il n’y a pas de plus grande certitude possible.

Mais il va plus loin, si je puis dire, en se présentant lui même à son église comme l’Amen,
l’absolue vérité,
la parfaite fiabilité.

C’est celui dont toutes les promesses et les menaces sont garanties.

Et nous voila très loin des « déclarations sur l’honneur » mentionnées plus haut…

Jésus a le sens de l’honneur, lui!

Pascal Collet

Un roi voulait offrir un cadeau à celui qui peindrait le plus beau tableau de la paix.

Beaucoup d’artistes s’y sont essayés. Deux tableaux ont retenu son attention: l’un représentait un lac calme entouré de montagnes imposantes, qui se détachaient sur un ciel bleu: fermez les yeux, imaginez, rêvez…

L’autre figurait des montagnes noires, déchiquetées, d’où coulait un torrent furieux, dans un paysage d’orage.

Est-ce cela la paix?

Mais, en regardant de plus près, le roi aperçut un minuscule buisson, poussant dans une fente du rocher, où un oiseau a construit son nid. Là, au-dessus des eaux tumultueuses, la maman oiseau couve ses œufs…dans une paix parfaite.

C’est ce tableau qu’il choisit, car, dit-il, « la paix ce n’est pas d’être dans un endroit calme, sans difficulté ni travail pénible, mais c’est d’être tranquille et serein au milieu des difficultés de la vie.« 

« Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ »

(Romains 5/1)

« Que le Seigneur de la paix vous donne lui-même la paix en tout temps, de toute manière ! Que le Seigneur soit avec vous tous ! »

(2 Thes 3/16)

Pascal Collet