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hi archyive

C’est l’expression employée par un ancien directeur d’Ehpad. Il illustrait l’expression par les halls d’accueil, en général très attrayant, la décoration des endroits accessibles aux familles… le tout supervisé quelquefois par des responsables marketing. Il s’agit d’améliorer l’image, de rendre tout ce qui est visible, agréable.

Evidemment et malheureusement, la réalité d’ensemble est autre… alors que ce sont les nombreux éléments de la vie au quotidien des résidents qui sont le plus important.

En trompe-l’œil…

L’être humain est-il condamné à faire illusion ? A soigner les apparences pour masquer le réel ? A enjoliver la vitrine alors que l’arrière salle est sordide ?

« Tu es cet homme-là ! »

(2 Sam 12/7)

Cette parole parait redoutable : elle est libératrice.

Les religions travaillent souvent en trompe-l’œil ; seul Dieu qui sonde tout peut rendre l’arrière salle aussi belle que la vitrine, car cette puissance ne peut être que divine.

Pour David, cette parole qui allait au-delà des apparences, le désignait à lui-même et lui permettait devant Dieu de sortir de l’illusion et des apparences.

Acceptée, elle ouvrit la porte au pardon de Dieu et au changement qui l’accompagne.

Voici ce que Dieu en fait, en son Fils Jésus-Christ.

Pascal Collet

« Quand j’écoute Beethoven, je me dis que c’est la certitude que Dieu existe. » dit une actrice.

Frappé par la surdité à 27 ans, voilà qu’il compose ses plus grandes œuvres à partir du moment où il n’entend plus ! Quel mystère !

De lui, on a écrit : « Ce sourd entendait l’infini… »

Mais il y a plus que le « mystère » de la musique de Beethoven : « Jésus est l’image du Dieu invisible » (Col 1/12), c’est-à-dire sa manifestation réelle ; et encore : le reflet de sa gloire, l’empreinte et la représentation de la personne de Dieu (Héb 1/3).

On pense à l’énoncé de ce simple nom : Jésus, tout savoir et on le laisse de côté. Quelle erreur !

Donnez-vous l’occasion de le suivre vraiment dans les évangiles : ces récits historiques vous le présenteront et poindra alors cette conclusion : Il est unique.

Donnez-vous la peine de l’entendre parler : ce ne sont pas les notes d’œuvres symphoniques que vous écouterez mais des paroles qui, si elles sont simples, sont aussi inouïes.

Elles touchent à notre identité vraie, à notre avenir, à ce que Dieu fait, à pourquoi Il fait ou pourquoi Il ne fait pas.

Et ces paroles ont pour vocation de devenir agissantes dans la vie de celui les reçoit.

On peut passer d’agréables moments à écouter la sonate au clair de lune de Beethoven ou l’une de ses symphonies… mais découvrir Jésus comme le « Dieu/homme » qui transforme nos vies vaut plus !

Pascal Collet

Avec le recul, cette jeune fille se rappelle avoir pensé, alors qu’elle n’était qu’une fillette, qu’elle aimerait que « tous les soirs ressemblent à celui-ci. »

C’était en soirée donc, le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais à Nice.

Brutalement vint un camion blanc semant la mort sur son passage.

« Tout s’est effondré dans un contexte de fête heureuse et joyeuse » explique un psychiatre. 

Ainsi, nos existences peuvent basculer, et une joie tourner au cauchemar.

Le vent impétueux qui entrainera bientôt le navire sur lequel était Paul, ce vent qui se déchaine, fait juste suite au léger vent du sud qui soufflait et donnait de l’assurance aux marins (Act 27/13-15).

« L’homme ! Ses jours sont comme l’herbe, il fleurit comme la fleur des champs. Lorsqu’un vent passe sur elle, elle n’est plus et le lieu qu’elle occupait ne la reconnait plus. »

(Ps 103/15-16)

Avertis par la Bible et par les circonstances, ne devrions-nous pas voir notre existence différemment ?

«… Mangeons et buvons…  de la gaieté et de la joie… »

Mais voilà un vent, et que reste-il ?

Cet humain fragile, Dieu l’aime pourtant !

Jésus son fils vint pour le sauver.

La paix qu’Il donne n’est pas donnée comme le monde : elle englobe le présent, concerne le passé et s’étend jusque pour l’éternité.

« Nous voici, nous allons à toi… »

(Jérémie 3/22)

Pascal Collet

« On joue la comédie, on met son masque. »

Ce n’est pas un menteur patenté qui s’exprime ainsi, mais une personne très affectée par des scènes d’attentat auxquelles elle a assisté.

Cette musicienne doit travailler et en travaillant ne peut pas donner à voir le traumatisme qui l’habite !

« …on met son masque. »

Ainsi souvent, l’humain n’est pas ce qu’il donne à voir !

Mais cet effort n’offre aucune solution n’est ce pas ? Quelle fatigue, même !

Et s’il existait quelqu’un qui m’aime comme je suis, malgré ce que je suis ?

Quelqu’un pour qui aucune comédie ne compte, mais plutôt l’authenticité ?

« Appelle ton mari et viens ici » dit Jésus à la femme samaritaine.

Cette demande ne vise pas le mari mais la femme, sa situation personnelle que Jésus connait, et ce malaise qui l’avait amené au puits à une heure inhabituelle, pour qu’elle n’y rencontre personne (Jean 4/16).

C’est dans la franchise et la simplicité de cœur que Jésus se révèle à nous comme celui qui pardonne et restaure.

Nul voyeurisme évidemment dans cette attente !

Alors, parce qu’Il est comme Il est, puissant Sauveur, ami compatissant, sachant tout : bas les masques !

Pascal Collet

« La loi de l’Eternel est parfaite, elle restaure l’âme… »

(Psaume 19/8)

La loi de l’Eternel peut désigner les seuls 10 commandements, comme aussi la vérité divine révélée, c’est-à-dire pour nous, la Bible, la Parole de Dieu !

Ce livre inspiré permet et produit l’action de Dieu dans les vies.

Regardons quelques aspects de sa perfection :

  • Elle apaise le désespoir, mais n’étanche pas la soif de repentance.
  • Elle accorde le pardon, mais ne provoque pas le moindre orgueil.
  • Elle donne un sentiment de sécurité mais incite à la vigilance.
  • Elle donne force et sainteté mais proscrit l’orgueil qu’on pouvait en tirer.
  • Elle incite l’homme à vivre pour Dieu, devant Dieu, en présence de Dieu, tout en lui laissant toutes les qualités nécessaires à l’accomplissement de sa tâche journalière.

Quel beau livre, non dans ses phrases ou ses enluminures, mais dans son message et le fruit qu’il porte dans l’humain qui le reçoit.

Car, ce sont les Ecritures saintes qui rendent témoignage de Jésus (Jean 5/39) et nous donnent d’aller à lui pour avoir la vie !

Pascal Collet