Vitaly, Olana, Ihan, Alina, Léonida, Oleh… et beaucoup d’autres ;
Ils sont venus, ils sont là. Un cri résonne, c’est un prénom, puis une autre, encore un autre…
Puis viennent les embrassades, les pleurs, les regards, les caresses…
1000 prisonniers ukrainiens contre 1000 prisonniers russes : c’est un échange qui a donné lieu à ces scènes brièvement évoquées.
On peut comprendre l’immense joie, le grand soulagement de tel conjoint, parent…
Dont certains ne savaient du reste pas si l’être aimé était toujours vivant !
Quels moments !
Et les retrouvailles de l’être humain avec Dieu ?
Ce fils est parti loin du père, plein de son égo, plein d’audace, sûr de lui…
Plus tard, le voilà dans le marasme le plus noir. Alors, il rentre en lui-même et entame le chemin du retour au père, avec un cœur repentant.
« Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et l’embrassa. »
(Luc 15/20)
De telles retrouvailles entre un offenseur et son offensé sont humainement rares.
Mais entre l’être humain et Dieu, elles sont souhaitables, nécessaires, possibles.
Relisez le verset 20 et pensez à l’attente de Dieu à votre égard…
C’est le moment !
Pascal Collet