Qui donc mettrait sciemment sa main dans l’antre d’un serpent venimeux ?
On accepterait d’être mordu par une vipère ?
Ou, changement d’image, qui souhaiterait être couché au sommet d’un mât ?
C’est à propos du vin qui « coule aisément » que le livre des Proverbes met en garde (23/29-35)
L’esprit festif, les mondanités pour les chefs d’entreprise ou autres dirigeants (dont ¼ confient avoir vécu ou vivre dans une addiction).
Le stress, les responsabilités à assurer, la pression, la solitude, la honte… autant de causes à cette consommation chronique, répétée, excessive, incontrôlée, compulsive, irrépressible.
« Mon âme retourne à ton repos car l’Eternel t’a fait du bien »
(Ps 116/7)
Au milieu de tout ce qui peut tourmenter, l’âme peut donc connaitre un vrai repos.
Rien à voir avec l’irresponsabilité, l’indifférence mais tout à voir avec le bien que Dieu peut procurer en Jésus son Fils lequel a bien proposé « le repos pour vos âmes » (Matt 11/28-29)
L’addiction nécessite une délivrance, et l’expérience de ce repos de l’âme en Jésus.
Le pire du texte des Proverbes cité ci-dessus est sa fin : « J’en veux encore ! »
Bravade ? Réponse à un reproche ?
Perte totale de contrôle ?
Je n’en veux plus ! doit être la réponse de qui prend connaissance de la bonne nouvelle en Jésus.
Prémices de la repentance, cet élan sera fait dans la seule foi au ressuscité, et : Il agira !