Pour peu que ça le soit (festif), c’est attirant pour beaucoup.
S’évader de la grisaille, des craintes, de la solitude… dans une atmosphère festive.
« J’ai commencé à boire à 19 ans et c’était festif… »
La même personne reconnait plus tard qu’elle est devenue alcoolique.
Elle était pourtant vue comme l’une des plus belles femmes du monde, étant top model.
Mais elle se considérait comme « la plus horrible femme du monde à l’intérieur ».
« Ne vous enivrez pas de vin, c’est de la débauche. » …
(Eph 5/18)
Et encore :
« Pour qui les ah ? pour qui les hélas ? Pour qui les disputes ? pour qui les plaintes ? pour qui les blessures sans raisons ? pour qui les yeux rouges ? pour ceux qui s’attardent auprès du vin, pour ceux qui vont déguster du vin mêlé… il finit par mordre comme un serpent, et par piquer comme un basilic »
(Prov 23/29-32)
Et pourtant, malgré ces paroles vraies, combien s’attardent encore auprès du vin ?
Qu’« hélas » ne soit pas le dernier mot !
Dans une vraie prise de conscience, dans une réelle repentance sans faux-fuyants, excuses, justifications… quelqu’un pourrait encore expérimenter la délivrance divine, comme aussi ce travail du Saint-Esprit nous emmenant au repos de l’âme, qui manque tant aujourd’hui, ce manque conduisant aux multiples addictions…
Jésus libère, Jésus guérit, il peut le faire pour vous aussi ;
de votre chaine, de vos douleurs et de vos peines,
Jésus est vainqueur.
Pascal Collet