… Comme un oiseau dans sa cage.

Au British Muséum de Londres est exposé le prisme de Taylor, fournissant de précieuses informations archéologiques et historiques sur le règne du roi Sennachérib.

Les rois de cette époque avaient l’habitude d’ériger des stèles pour publier leurs exploits, tout en minimisant les échecs.

Ce roi a donc fait écrire : « J’ai enfermé Ezéchias comme un oiseau dans sa cage. »

Il omet de mentionner l’intervention divine, seule capable de renverser le cours des choses : 2 Chroniques 19/35-36.

Il est vrai que Ezéchias semblait, et là, j’emploie une expression différente : fait comme un rat !

D’autres peuplades avaient été soumises au roi assyrien (19/26), sans que rien ne vienne contrecarrer ses plans.

Mais voilà, Ezéchias d’une part, Esaïe d’autre part ont prié. Et Dieu a répondu : 19/28.

La cage s’est ouverte, la délivrance est venue en même temps que la confusion du pourtant puissant roi d’Assyrie.

La chose avait été écrite auparavant :

« Tu me feras sortir du filet qu’ils m’ont tendu car tu es mon protecteur. »

(Prov 31/5)

« Car c’est Lui qui te délivre du filet de l’oiseleur… »

(Ps 91/3)

« Notre âme s’est échappée comme l’oiseau du filet des oiseleurs ; le filet s’est rompu et nous nous sommes échappés. »

(Ps 124/7)

Le filet s’est rompu, la cage s’est ouverte…

Roi ou autres adversaires de Christ et des siens, « prisons » de tout type, notre Dieu est capable de nous délivrer !

Pascal Collet