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« C’est vraiment intrigant ! »

C’est la conclusion tirée par des chercheurs à partir de l’étude de données satellitaires analysées par la NASA. L’hémisphère nord plus que le sud.

Passons sur les hypothèses formulées pour tenter d’expliquer le phénomène…

Le Dieu de la nature étant aussi le Dieu de la rédemption, la nature a souvent été au diapason de l’état spirituel.

Le jugement de la 5ème coupe : le royaume et le trône de la bête sont plongés dans les ténèbres, ce qui correspond bien à l’époque ténébreuse moralement et spirituellement (Ap 16/10).

De midi à 15 heures, inexplicablement, il y eut des ténèbres sur toute la terre le jour de la crucifixion de Jésus (Mat 27/45).

Lorsque le soleil de justice s’éteint, le soleil de la nature se voile de ténèbres.

Il fait sombre, non ?

D’une obscurité oppressante…

Aujourd’hui comme au temps du prophète, même les angoisses semblent plus sombres (Es 8/22) : détresse, obscurité, sombres angoisses, épaisses ténèbres… avant l’annonce de la venue de Jésus.

Bien-aimés, ne voulez-vous pas vous joindre à moi pour adorer Celui en qui il n’y a pas de ténèbres ? (1 Jean 1/5).

Et vous amis, c’est bien dans votre obscurité qu’Il vous appelle à son admirable lumière !

Pascal Collet

C’est la réponse de Jésus à la femme cananéenne, insistante dans sa demande de secours pour sa fille.

N’est-ce pas là le rêve de tous les êtres humains ; que les choses de l’existence se réalisent comme nous le voulons ?

Mais surgit un vaste problème : ce que nous voulons est-il bon ? utile ? bienfaisant ? et si l’on va plus loin ; digne de louange ?

La volonté humaine est faussée depuis que le serpent ancien l’a orienté vers le péché, c’est un fait.

La seule volonté personnelle qui peut-être justement qualifiée de bonne, agréable et parfaite, c’est celle de Dieu (Rom 12/2 Darby).

Qu’elle devienne donc notre référence, notre « phare » dans la nuit de nos pensées et notre pratique, via l’œuvre de salut que Jésus accomplit pour ceux qui se repentent et croient.

C’est une manière aussi de rappeler que Dieu n’est pas là pour accomplir pour nous ce que nous voulons… tant certains se sont dit déçus par Dieu pour cette raison même !

Que voulait-elle cette femme ? ce que sa foi a exprimé (Mat 15/28) : le secours divin pour sa fille tourmentée par le démon.

Cette volonté était identique à la mission de Jésus : Luc 4/18-19. Elle fut donc exaucée.

Bien avant elle, Dieu eut une confiance suffisante pour proposer au jeune roi Salomon de lui donner ce qu’il voulait : 1 Rois 3/5.

Cette confiance (celle de Dieu !) fut honorée par la demande de Salomon : un cœur intelligent (1 Rois 3/9).

Cette demande (volonté) plut au Seigneur (v10) qui l’exauça.

Loin des caprices, des tentations de faire du Seigneur notre serviteur, de l’erreur d’appréciation…, laissons-le façonner notre volonté pour « bien vouloir » … et il fera le reste !

Pascal Collet

Au British Muséum de Londres est exposé le prisme de Taylor, fournissant de précieuses informations archéologiques et historiques sur le règne du roi Sennachérib.

Les rois de cette époque avaient l’habitude d’ériger des stèles pour publier leurs exploits, tout en minimisant les échecs.

Ce roi a donc fait écrire : « J’ai enfermé Ezéchias comme un oiseau dans sa cage. »

Il omet de mentionner l’intervention divine, seule capable de renverser le cours des choses : 2 Chroniques 19/35-36.

Il est vrai que Ezéchias semblait, et là, j’emploie une expression différente : fait comme un rat !

D’autres peuplades avaient été soumises au roi assyrien (19/26), sans que rien ne vienne contrecarrer ses plans.

Mais voilà, Ezéchias d’une part, Esaïe d’autre part ont prié. Et Dieu a répondu : 19/28.

La cage s’est ouverte, la délivrance est venue en même temps que la confusion du pourtant puissant roi d’Assyrie.

La chose avait été écrite auparavant :

« Tu me feras sortir du filet qu’ils m’ont tendu car tu es mon protecteur. »

(Prov 31/5)

« Car c’est Lui qui te délivre du filet de l’oiseleur… »

(Ps 91/3)

« Notre âme s’est échappée comme l’oiseau du filet des oiseleurs ; le filet s’est rompu et nous nous sommes échappés. »

(Ps 124/7)

Le filet s’est rompu, la cage s’est ouverte…

Roi ou autres adversaires de Christ et des siens, « prisons » de tout type, notre Dieu est capable de nous délivrer !

Pascal Collet

… c’est la triste aventure de cet homme après qu’il ait consulté un ophtalmologue qui suivait sa propre mère depuis plus de 30 ans.

Confondu avec un autre patient qui lui souffrait de la cataracte, il a été traité de telle sorte qu’il a perdu une partie de la vue.

« Lui avoir fait confiance est la plus grave erreur de ma vie » dira après-coup cet homme !

Faire confiance…

Consciemment et inconsciemment, nous donnons notre confiance à beaucoup de personnes : au chauffeur (de bus, tram, métro, train…) pour arriver à bon port ; au constructeur pour bâtir notre maison ; au boulanger pour du bon pain ; au plombier pour réparer ; au docteur pour diagnostiquer et soigner ; au journaliste pour rapporter les faits tels qu’ils sont ; aux prévisions météo pour savoir quoi faire… bref, l’existence nous amène à faire confiance, vu que nul d’entre nous n’est souverain, et que nous avons donc besoin des autres.

Notre confiance est-elle bien placée ?

C’est une autre affaire…

Trouver un homme, une femme de confiance est de grande valeur. D’où la question : « un homme fidèle, qui le trouvera ? » (Prov 20/6).

Un homme fidèle « vraiment sûr », ou encore « véritable » selon d’autres versions.

Or la Bible rend un net témoignage que Jésus est cet homme fidèle : Il s’appelle « fidèle et véritable » (Ap 19/11) ; Il est vrai (Mat 22/16), saint, sans iniquité, ni zone d’ombre, ni faiblesse.

Pourrions-nous trouver quelqu’un qui soit plus digne de notre confiance que Lui ?

Notre erreur la plus grave serait de ne pas Lui faire confiance.

Car il est dit dans l’Ecriture :

« Voici, je mets en Sion, une pierre angulaire, choisie, précieuse ; est celui qui croit en elle (Jésus), ne sera pas confus »

(1 Pi 2/6)

Pascal Collet