Archives par mois :août2025

hi archyive

Un français sur deux a déjà menti sur son CV.

Ah bon ?

Inventer un diplôme qu’on n’a pas ou une expérience professionnelle, gonfler les faits, dissimuler des périodes de chômage, inventer des missions, s’attribuer des résultats jamais obtenus… pour déjà rencontrer le recruteur lors d’un entretien d’embauche.

Le candidat est censé être de bonne foi.

La foi, parlons-en justement : l’habileté et le mensonge remplaceront-ils pour le disciple de Jésus la foi dans les promesses de Dieu, foi qui doit nécessairement passer le test de l’épreuve ?

On peut encore croire : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » (Mat 6/33)

Mon Père céleste pourvoira !

Et puis, et la question est d’autant plus actuelle que le mensonge devient « à grande échelle », quel est donc l’avenir des menteurs ?

Il se trouve que la chose est clairement renseignée dans la Parole de Dieu : Ap 21/8, « …et tous les menteurs… »

C’est donc sérieux, très sérieux !

Stratégies, inventions, efforts de mémoire (et oui : il faut une bonne mémoire pour mentir), apparences… quelle fatigue et quelle tragédie !

« Nous savons que tu es vrai… » ont dit plusieurs de ses adversaires à Jésus (Mat 22/16).

Soyons attirés et transformés par Lui !

Pascal Collet

Quèsaco ? Qu’est-ce que c’est ?

Des accidents qui ouvrent la voie à un salut.

Un physicien explique par exemple que, souffrant d’un déficit en globules blancs, un médecin lui avait dit que les mesures de cette maladie étaient peut-être faussées par le fait possible que ses globules étaient « collés » aux veines.

Le malade a pris ça au pied de la lettre et s’est mis à courir habituellement pour les secouer. D’où est sorti un secours pour lui ;

La Parole de Dieu ne manque pas de nous fournir de magnifiques exemples :

Joseph est renié et méprisé par ses frères, vendu comme esclave, emprisonné ; puis ces « accidents » produisent un salut : il est établi gouverneur de tous les biens du Pharaon, devenant pourvoyeur des ancêtres du Messie ! (Genèse chap. 37 à 42).

Paul connait avec d’autres un naufrage ; dans la suite des faits consécutifs, il a bénéficié d’un miracle qui ouvre une porte à l’évangile sur l’île de Malte (Actes 27 et 28).

Pas « d’accident », pas de salut ! pourrait-on dire.

Avec des mots plus accessibles que ceux du titre, nous pouvons confesser : « Mes souffrances même sont devenues mon salut ». (Es 38/17).

Combien de fois la chose fut vérifiée…

Quelle perspective pour ceux qui souffrent !

Sans oublier bien sûr que Ses souffrances (Jésus) sont devenues notre salut.

Pascal Collet

…qui depuis 1991 convie qui le veut, chaque été à l’émerveillement de l’observation nocturne dans des sites épargnés par la pollution lumineuse des villes.

Une astrophysicienne dit joliment que cet évènement a été imaginé pour permettre à qui le veut de lever les yeux vers le ciel.

Entre les constellations visibles à l’œil nu et les images captées par les télescopes perfectionnés, il y a de quoi s’émerveiller.

Lever les yeux vers le ciel…

Dieu a conduit Abram dehors pour qu’il le fasse (Gen 15/5) : à la multitude contemplée des étoiles, était liée une promesse… accomplie.

David le faisait (Ps 8/6) et sa conclusion était : « Eternel notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre » (v10).

C’est par une ténébreuse folie que l’astronomie a débouché sur l’astrologie : la chose fut prévue et dénoncée par Dieu lui-même (De 4/19).

Ces étoiles à leur manière, louent Dieu (Ps 148/3).

Et quelle louange en effet !

Sa grandeur, sa puissance, son intelligence sans limite ont à voir avec le décompte qu’Il en fait et le nom qu’Il donne à chacune : Ps 147/4-5.

Mais le plus étonnant n’est-il pas que sa « grandeur immense » n’efface pas sa compassion : Il guérit ceux qui ont le cœur brisé et il panse leur blessures » (v 3), aussi.

Regardez le ciel… et confiez-Lui votre cœur.

Pascal Collet

Le mot même fait peur : il réveille chez beaucoup le souvenir des catastrophes de 2004 et 2011.

Or, celui de la semaine dernière dont l’épicentre du séisme était dans la péninsule du Kamtchatka en Russie, a été beaucoup moins meurtrier.

Pourquoi ?

En grande partie à cause des systèmes d’alertes dont de nombreux pays se sont dotés après les catastrophes précédentes…

Comme quoi, prévenir vaut mieux que guérir !

« Vous qui êtes avertis… » écrit l’apôtre Pierre par le Saint-Esprit (2 Pi 3/17).

L’avertissement est salutaire : il permet d’anticiper et d’éviter, si possible.

Comment l’est-on ?

Par la Parole de Dieu, livre inspiré contenant et dévoilant à qui le veut la parfaite sagesse de Dieu. N’est-il pas omniscient ?

S’il est bon d’être prévenu des dangers « d’ici-bas », que dire de ceux qui touchent à la destinée de l’être humain ?

Ces derniers sont pires en nocivité que ceux dont nous sommes devenus familiers (finances, écologie…) : ils concernent l’âme, le salut, l’éternité.

Encore faut-il accepter de recevoir l’avertissement !

La génération de Noé l’a entendu cet avertissement mais toute aux choses de la terre (Mat 24/37-39), elle n’y prête pas foi, contrairement à Noé : « …divinement averti… il construisit une arche… » (Héb 11/7), pour un résultat diamétralement opposé.

Ne soyons pas comme ceux décrits par Néhémie : « …ils n’ont pas été attentifs aux avertissements que tu leur adressais. » (Né 9/34).

Pascal Collet