Et à la fin ?

Ce fils adulte va de temps à autre se recueillir sur la tombe de sa maman, femme engagée pour des idées auxquelles elle croyait.

Repensant à son engagement, il en contemple la vanité : tout le temps passé (dépensé) à écouter des choses qui jamais ne se sont réalisées, tous les efforts consentis…

L’homme dont elle défendait les idées repose maintenant en un tas de cendres dans un cimetière…

Tout ça pour quoi ?

L’histoire est un cimetière d’illusions, dit-on.

« …Sa fin sera comme une jour d’amertume » écrit le prophète Amos (8/10)

S’engager, croire, s’investir, espérer… pour des choses qui ne se réaliseront jamais… puis viendra la fin, et elle sera amère effectivement.

Presqu’à la fin de la Bible, un constat inverse est posé : « C’est fait ! » (Ap 21/6)

Il est attesté que ces paroles sont certaines et véritables (v.5) et celui qui est à l’œuvre n’est autre que le Seigneur Jésus, dans la puissance et l’éclat de son trône.

C’est fait !

Les promesses sont réalisées ;

L’accomplissement est là

L’espérance se transforme en vue

La foi préexistante à ce moment est magnifiquement confirmée : c’était donc vrai !

Ainsi, ceux qui auront choisi de « miser » sur Jésus, son œuvre et son enseignement, contempleront un jour l’exactitude, la réalité palpable des choses annoncées.

Quelle allégresse !