Archives par mois :février2023

hi archyive

Son histoire commence le 24 février 2022 en Ukraine : ce pilote abat plusieurs avions ennemis, des hélicoptères…

L’histoire prend forme, est relayée sur les réseaux sociaux…

Le 26 juin, le colonel, âgé de 60 ans et surnommé « grand père » par ses hommes est abattu.

L’histoire vraie apparait : cet homme avait repris du service au début de la guerre. Ni lui, ni aucun autre pilote n’avait abattu seul les avions et hélicoptères.

Ce mythe a été créé pour conjurer la peur, se donner du courage, symboliser la résistance d’un peuple. Un « super héros » fictif pour temps difficiles…

C’était le fantôme de Kiev !

« C’est un fantôme ! »

Ce cri est celui des disciples dans la barque agitée par des vents contraires. (Mat 14/24-27)

Or, voilà qu’ils pensent voir Jésus… marchant sur l’eau !

Leur cri est une manière de dire : « Ça ne s’est jamais fait », « c’est impossible ».

Effectivement…

Sauf que Jésus n’est pas n’importe qui : « c’est moi » répond-il à leur frayeur, littéralement : « Je suis », ce qui est le nom même de Dieu , révélé par Lui à Moïse (Ex 3/14).

Jésus est le grand « Je suis » !

Il ne s’est pas « amusé » à marcher sur l’eau mais a démontré son autorité divine même sur la nature.

Et sur la maladie, les ténèbres, la perdition.

Jésus fait de grandes choses. Ce n’est pas un fantôme !

Pascal Collet

Une nuit, un homme fît un rêve.

Il rêvait qu’il marchait le long d’une plage avec Dieu. Des moments de sa vie apparaissaient; à chacun de ces moments correspondaient deux séries d’empreintes dans le sable: l’une d’elles lui appartenait et l’autre à Dieu.

Lorsque les moments importants de sa vie eurent défilé, il regarda à nouveau les empreintes de pas dans le sable et remarqua que tout au long du chemin qu’il était sensé avoir parcouru avec Dieu, il n’y avait parfois qu’une seule empreinte de pas.

Il remarqua aussi que cela était survenu durant les moments les plus sombres et les plus pénibles de sa vie.

Cela le peina et il demanda à Dieu: « Mon Dieu, lorsque j’ai décidé de te suivre, tu m’avais dit que tu ne m’abandonnerais pas et que tu m’accompagnerais tout au long de ma route. Pourtant, durant les pires moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule série d’empreintes dans le sable… Pourquoi m’as-tu abandonné? »

Dieu lui répondit alors: « Mon enfant, je t’aime et je ne t’ai jamais abandonné… Lorsque tu as connu l’épreuve et la souffrance, si tu n’as vu qu’une seule série d’empreintes dans le sable, c’est que je te portais… »

Pascal Collet

C’est la fin du verset 16 du chapitre 8 du livre du Deutéronome. Il décrit l’intention de Dieu à l’égard de son peuple.

L’amour peut être défini comme la volonté et la joie de faire du bien à l’être aimé.

Du bien réel, durable s’entend !

Donner des sucreries à son enfant « parce qu’on l’aime », c’est en réalité ne pas l’aimer vraiment : il en adviendra surement des problèmes de santé, plus tard.

Dieu ne nous donnera donc pas des « sucreries »…

Ses voies peuvent nous paraitre incompréhensibles par moment ; mais savons-nous mieux que lui ?

Aimons-nous mieux que lui ?

Pourquoi mener le peuple délivré dans le désert, cet affreux désert, ces lieux arides et sans eau (Deut. 8/15) ?

L’être humain proteste : « Dieu est…., Dieu n’est pas… »

Or la Bible dit : « Dieu est amour (1 Jean 4/8 ; 16).

Elle dit aussi que cet amour fut prouvé, de la plus indiscutables des façons (Rom 5/8).

Restons donc dans cette confiance.

Le bien que Dieu fait, et qu’il fait quelquefois « ensuite », est d’une qualité certaine.

Il a joie à sauver l’être humain de son péché, joie à l’éduquer, joie à le diriger, joie à lui apprendre des leçons rares (obéir, espérer…) et au final, le but atteint, la chose apparaitra, splendide : Dieu m’a fait du bien.

Pascal Collet

Près d’un jeune sur six et un sur trois utilisant Tik Tok juge possible que la terre soit plate.

Entre les scientifiques idéologues (et les non scientifiques aussi !), les spécialistes qui se trompent régulièrement et ceux qui n’y connaissent rien mais qui ont un avis autorisé sur tout, il est quelquefois difficile d’y voir clair…

Et pourtant, nous avons besoin de ce qui est vrai.

« Qu’est ce que la vérité ? » demande un homme blasé, cynique, habitué aux méandres, et opportuniste (Jean 18/38).

Le fait est qu’il posa la question à Celui qui justement a si souvent enseigné en introduisant par « En vérité, en vérité… ! »

Jésus ne présente pas un système, une école de pensée, une théorie pour attirer.

Sa réponse est déconcertante : « Quiconque est de la vérité écoute ma voix. » (Jean 18/37)

Encore une prétention ?

Ou bien, cette affirmation est au contraire soutenue par sa vie (sainte) et ses œuvres (divines)…formant un tout cohérent et logique.

Jésus vise au salut de l’être humain trompé et trompeur tour à tour.

Et ce salut est obtenu par « la foi en la vérité » (2 Thes 2/13)

Pourquoi ne pas l’écouter ?

Pascal Collet