Archives par mois :janvier2023

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« Un bon politicien est celui qui est capable de prédire l’avenir et qui par la suite est également capable d’expliquer pourquoi les choses ne se sont pas passées comme il l’avait prédit. »

Dieu n’est donc pas un politicien. Ouf !

Un lecteur attentif de la Bible sera ainsi rempli d’admiration en comparant les prédictions divines du passé et leurs réalisations au temps voulu.

Certes la Parole de Dieu n’a rien à voir avec la boule de cristal de Mme Irma ou avec les cartes de la tireuse de cartes.

Il n’empêche, Dieu est capable de tenir le défi.

« Qui a comme moi fait des prédictions ? (Qu’il le déclare et me le prouve !) depuis que j’ai fondé le peuple ancien ? »

Esaïe 44/7

Et encore :

« J’annonce dès le commencement ce qui doit arriver et longtemps d ’avance ce qui n’est pas encore accompli. »

Esaïe 46/10

Probablement pour ceux qui annoncent après-coup ce qui s’est passé en nous disant pourtant : « Je le savais ».

Les saints prophètes (de la Bible) méritent notre attention à leur annonce (2 Pi 3/2) ; notre Seigneur Jésus plus qu’eux encore ! (Matt 24/25)

Pascal Collet

« Elle m’apaise. Je sais aussi qu’elle me tue. »

Ainsi parle un accro à la cigarette.

Lucidement.

Il faut quand même être « abimé » dans ses pensées pour croire et accepter qu’un poison vous fasse du bien ….

Quelle est donc cette paix qui est compagne de la mort ?

Jésus est le Prince de la paix (Esaïe 9/5), « prince » n’évoquant pas un conte pour enfant, mais la personne qui détient l’autorité.

Et il faut une autorité rien moins que divine pour qu’effectivement la paix divine soit donnée à l’humain et ses « montagnes » : culpabilité, incertitudes, périls, inquiétudes, soucis…

Heureusement, Jésus précise bien qu’il ne donne pas sa paix comme le monde donne (Jean 14/27).

Le monde peut donner une « paix » qui fait mourir… pas Jésus.

Il se trouve même que la paix divine est liée à la vie : « …l’affection de l’Esprit, c’est la vie et la paix. » (Rom 8/6).

Et non pas une « paix » qui mènerait à la mort !

Choisissons donc la vie, celle qui est don gratuit de Dieu en Jésus-Christ, la vie véritable, et recevons Sa paix.

Pascal Collet

Hélas, c’est le mot qui traduit une plainte, très probablement une douleur ; c’est le mot du regret : on « refait le film » et on sait que si les choses avaient été faites autrement, un malheur aurait été évité. Hélas…

L’Ecriture semble annoncer qu’on peut savoir à l’avance un malheur :
« Pour qui les ah ? Pour qui les hélas ? » Et elle ajoute les disputes, les plaintes, les blessures sans raison, les yeux rouges (Prov 23/29).

Savoir qu’une cause amènera systématiquement un malheur, c’est donc pouvoir se protéger de ce dernier.

Alors, pour qui les hélas ?

Les versets qui suivent décrivent la consommation immodérée d’alcool et les méfaits de l’ivresse.

Cet alcool si attirant est en réalité plus dangereux qu’un serpent venimeux.

« Ne vous enivrez pas de vin, c’est de la débauche. Soyez au contraire remplis de l’Esprit » (Ep 5/18) écrira bien plus tard l’apôtre Paul.

Il y a donc un « contraire » à l’ivresse.

Et ce contraire est divin : c’est la présence, l’action de l’Esprit de Dieu sur la terre et dans un cœur.

Ce contraire est saint, sans risque et n’a que des bénéfices.

Jésus n’a-t-Il pas annoncé que l’Esprit de Dieu poursuivrait sur la terre l’œuvre accomplie par Lui ? (Jean 15/6 ; 16/7)

Pour une vie sans « hélas »…

Pascal Collet

Nous voilà prévenus !

Quelqu’un penserait peut-être qu’il y a là une exagération ?

Voici donc quelques unes de ces « beaucoup de douleurs » :

  • Devenir prisonnier d’une passion
  • Boire une eau qui ne désaltère pas
  • Sombrer dans le découragement par l’incapacité à mettre en œuvre les résolutions prises
  • Connaître la honte d’un vice qui dépouille de toute dignité
  • Ployer sous la culpabilité
  • Exister avec la peur de la mort
  • Ouvrir la porte à de véritables obsessions
  • Eprouver la tristesse de rendre les autres malheureux

…On pourrait y ajouter !

« Beaucoup de douleurs.. » Et que dire de celle, plus redoutable encore d’une éternité sans Dieu ? Jésus ne l’a-t-il pas prêché ?

Abondance de douleurs d’un côté, abondance de grâce de l’autre…

Le choix semble facile, à condition de recevoir le témoignage divin comme vrai.

Et de se détourner résolument de nos voies si souvent mauvaises, pour rejoindre Celui qui est le chemin, la vérité et la vie.

Pascal Collet

Et un danger de plus, un !

Parents, enseignants et médecins commencent à voir les effets délétères de cette plateforme prisée des jeunes.

Hypnotisme, addiction rapide, perte d’attention… et selon une neuroscientifique, risque à long terme sur le développement du cerveau, avec des effets dramatiques.

Avez-vous remarqué le nombre grandissant et impressionnant de dangers divers et variés ?

Ce monde est probablement plus dangereux qu’il n’a jamais été.

Allons nous comme les interlocuteurs de Paul qui « voyait » les périls à venir (et ils sont arrivés !) choisir de faire la sourde oreille, en attendant…quoi au juste ? (Actes 27/10)

Un homme fut piégé et en grand danger reconnaissait après coup que Dieu était un asile pour lui, qu’il le garantissait de la détresse et l’entourait de chants de délivrance (Ps 32/7).

Un asile… c’est-à-dire un refuge inviolable, et donc par conséquent un lieu où l’on trouve la paix.

Alors que les ténèbres s’épaississent et que les périls augmentent, cet asile, l’as-tu trouvé ?

« Tu es mon asile et mon bouclier.. »

(Ps 119/114)

Le message de Dieu propose un refuge et celui-ci est lié à Christ, son œuvre ici-bas et dans le ciel (Héb 6/18).

La vie nouvelle qu’il propose nous éloigne de grands périls et nous délivre des pièges.

La sagesse alliée à la force qu’il met dans nos cœurs est une garantie.

Ne voulez-vous pas retourner à Lui et le découvrir comme le gardien de votre âme ? (1 Pi 2/25)

Pascal Collet