Archives par mois :décembre2022

hi archyive

C’est l’annonce d’un roman à paraître.

On imagine y rencontrer des trahisons, des faux semblants, des réalités soigneusement cachées…

Quelles furent les expériences du psalmiste pour qu’il en vienne à dire : « Tout hommes est trompeur » ? Et quelle angoisse de devoir le reconnaitre (Ps 116/11) !

Que le doute soit permis (et même quelquefois conseillé !) quant à l’homme, c’est logique.

En dehors du trompeur « patenté », que d’expertises démenties, de prévisions irréalisées…

Que le doute touche à Dieu, c’est autre chose.

Ceci nous fermerait à tout jamais les portes de Sa grâce, car aujourd’hui comme hier : c’est par la foi que…

Dieu est digne de toute confiance ; ses témoignages sont entièrement véritables (Ps 93/5) : ils reposent sur son intégrité.

Dieu est parfaitement loyal, exact dans ses constats comme dans ses prédictions.

Il ne fluctue pas ; Il n’ignore pas.

Comment douter de Lui ?

Et bien, l’atmosphère ambiante, les espoirs déçus, les engagements pris et pas tenus, poussent à douter de tout, et ce doute pourrait aussi concerner Dieu…

Souvenons-nous de ceci : 

« Dieu n’est point homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir… »

(Nombres 23/19)

Pascal Collet

C’est ce qu’entendent les voyageurs à la sortie des bouches de métro.

Les vendeurs à la sauvette propose leurs cigarettes, des fausses Marlboro.

Les gens fument plus qu’avant : leur façon de lutter contre le stress.

Cet homme pour vivre son addiction ne mange plus que du riz ou des pâtes tous les jours et de la viande une seule fois par semaine.

Il faut l’écouter : « On croit que c’est un réconfort même si c’est faux. »

Donc il cherche du réconfort en sachant qu’il n’en trouvera aucun !

Quel désarroi ! Quelle impuissance !

Pourquoi ne pas croire que la paix recherchée est en Jésus (Jean 16/33) ?

Je l’entends se présenter comme le Dieu qui sauve et je comprends que son action est conforme à son identité :

« Je suis le pain de vie. » (Jean 6/48)

                   Et nous sommes nourris sainement.

« Je suis la porte. » (Jean 10/9 )

                   Et voici l’issue sûre.

« Je suis le bon berger. » (Jean 10/11)

                   Et nous voilà rassurés, gardés, apaisés.

« Je suis la lumière du monde. » (Jean 8/12)

                   Et nous voyons clair, enfin.

« Je suis la résurrection et la vie. » (Jean 11/25)

                   Et nous quittons la mort spirituelle pour vivre.

« Je suis le vrai cep. » (Jean 15/5)

                   Et voilà des fruits inattendus dans notre existence.

Quel réconfort, quel vrai réconfort !

Laissez donc tomber les Marlboro (et tout le reste) et connaissez Jésus, le Dieu véritable.

Pascal Collet

Un sociologue décrit ainsi l’évolution de la société occidentale.

Suggestif, n’est-ce pas ? Et peu flatteur…

Ressemblerions nous à celui qui ne rôtit pas son gibier (Prov 12/27) ? Qui plonge la main dans le plat mais ne la ramène pas à sa bouche (19/24) ? Qui ne laboure pas quand il fait froid (20/4) ? Qui évoque un danger imaginaire pour ne rien faire (22/13) ?

Quel courage, quel cœur chez Jésus !

  • Il en faut pour quitter la quiétude parfaite, l’harmonie unique, la gloire du ciel, afin de paraitre sur la terre…
  • Il en faut pour se laisser conduire au désert afin d’y affronter le tentateur…
  • Il en faut pour aller de villes en villages, travaillant inlassablement au salut des perdus…
  • Il en faut pour affronter tous les dangers, toutes les oppositions et toutes les incompréhensions…
  • Il en faut pour prendre la résolution de se rendre à Jérusalem : à cette occasion, il endurcit sa face (litt. : Luc 9/51).
  • Il en faut pour accepter encore la volonté du Père à Gethsémané…
  • Il en faut pour être réellement l’agneau qu’on mène à la boucherie (Es 53/7)…

Haut les cœurs !

Pascal Collet

Une dépêche ministérielle indique que les procureurs ont reçu pour consigne de classer des milliers de procédures pénales en souffrance.

Ils se déplacent dans les commissariats, y évaluent les stocks d’affaires en attente, et trient en fonction de critères fluctuants ! Des dossiers traités et prêts à être jugés sont donc désormais classés !

Des magistrats parlent de « dévoiement de l’idéal de justice » !

Effectivement, puisque les coupables ne seront jamais jugés à la mesure de leurs méfaits.

Il n’en sera pas ainsi de la justice de Dieu. Car : « Dieu est un juste juge… » (Psaume 7/12)

et donc : « Chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même » (Rom 14/12).

Pierre va jusqu’à préciser que Dieu est prêt à juger les vivants et les morts (1 Pi 4/5).

Quelle perspective !…

Aucun délit ne sera classé sans suite ; aucune peine ne sera aménagée ; aucune non plus ne sera pas exécutée…

Que vienne donc l’évangile et son message, seul réconfort pour les coupables : Jésus a pris ma place dans le jugement et ce sur la croix.

Je suis donc invité à confier ma cause perdue à celui qui est à la fois juge et avocat (1 Jean 1/1-2).

Il plaide ma cause avec ce que je crois et reçois comme vrai : son sacrifice suffisant.

Rappelez-vous : il n’y aura pas de classement sans suite !

Pascal Collet